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Sören Osbern
Sören Osbern

Me, myself and I
Popularité:
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Sam 4 Avr - 16:37

Sören Osbern



29 ans
01 Février
Anglo-norvégienne
Hétérosexuel


La nature a fait de moi un monstre. Les hommes ont fait de moi une arme. Et Dieu a fait durer tout cela trop longtemps.


ONLY YOU
AT YOUR SCHOOL
QUEL EST TON SURNOM
Aucun...
MATIÈRE ENSEIGNÉE
L'Anglais.
RÉFÉRENT POUR QUEL(S) CLUB(S) ?
Le club de théâtre.
ENTRAÎNEUR POUR QUEL(S) SPORT(S) ?
Aucun.


NO PRIVACY




Eau ou Whisky ?
Whisky.
Mariage ou Volage ?
Volage.
Cigarette ou Bonbon ?
Cigarette.
Mature ou Immature ?
Mature.


Sucré ou Salé ?
Sucré.
Cinéma ou Télé ?
Aucun des deux.
Livre ou Soirée ?
Livre.
Intello ou Sportif ?
Les deux.


Blonde ou Brune ?
Blonde.
Travail ou Vacances ?
Travail.
Amoureux ou Solitaire ?
Solitaire.
Sérieux ou Cool ?
Sérieux.




PHYSICAL
Couleurs des yeux et cheveux
Bleu-vert et châtain clair.
Taille et Poids
1m84, 78 kilos.
Musculature
Très musclé.
Style vestimentaire
Toujours bien habillé, en costume à la mode... Mais assez décontracté pour passer pour un professeur cool.

Signe particulier
Quelques cicatrices.

Ben Dauhlhaus







MORE ABOUT ME





Quel est ton livre préféré ? Ton film préféré ?
Nosfera2 de Joe Hill, et je ne regarde pas de film.
Quel est le genre de musique que tu écoutes ? Ta chanson préférée ?
J'aime bien le black metal norvégien, et le metal en général. J'étais très fan du groupe Mayhem, et notamment de la chanson Necrolust, avant que les membres du groupe ne s'entre-tuent.
Quel est ton plat préféré ? Ta boisson préférée ?
C'est plutôt un dessert, mais je dirais le mille-feuille, et j'aime bien la bonne bière brune.
Ton avis sur la religion ? La politique ? L'environnement ?
Les trois sujets ne m'intéressent absolument pas.
Ce que tu penses de l'homosexualité ? De l'infidélité ? De l'amour ?
Je suppose que les gens sont libres de faire ce qu'il désire... Enfin, dans la limite de la légalité, évidemment.
Les drogues ? L'alcool ? Les soirées ? Ton truc ou pas du tout ?
Pas du tout. Je n'aime pas particulièrement sortir, et de toute façon, je n'ai pas le temps de m'adonner à ce genre de loisirs.
Au lycée, tu étais toi-même plutôt populaire ou plutôt has-been ?
Je n'ai fait que quelques mois de lycée, et j'étais une véritable star. Les journaux ne parlaient que de moi... Mais, ce n'est pas pour autant que j'étais populaire.
Quelle profession exerçais-tu avant d'être embauché au lycée ?
J'étais, et je suis toujours tueur à gages. Le lycée, c'est un moyen comme un autre d'avoir l'air normal.
Aujourd'hui, tu es plutôt perçu comme un prof cool ? Ennuyeux ? Sévère ?
Sérieux, et cool.
Es-tu plutôt impliqué dans la vie lycéenne ? T'intéresses-tu aux élèves en dehors des cours ?
Absolument pas.
As-tu un élève favori, un chouchou ? Un élève que tu détestes ? Si oui, on veut des noms :
Je n'ai pas de chouchou, je ne m'intéresse pas réellement à ces gamins, je fais mon travail correctement, mais pour moi, tous les élèves se ressemblent.
Ta plus grande qualité ? Ton plus grand défaut ?
Je suis très réfléchi... Et, plutôt insensible.
Parle-nous de ton caractère, dans les grandes lignes :
Compétitif, Attentif, Patient, Réfléchi, Arrogant, Travailleur, Autonome, Peu bavard, Solitaire, Manipulateur, Souriant, Menteur, Psychopathe, Combatif, Confiant, Cynique, Sérieux, Responsable, Très soigneux, Obstiné, très Maniaque, très rigoureux et méticuleux.






Dernière édition par Sören Osbern le Ven 17 Avr - 21:49, édité 4 fois
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Sam 4 Avr - 17:07

YOUR STORY



Je suis simplement à la recherche d'un sentiment perdu, la certitude que j'avais dans ma jeunesse, lorsque j'ai rencontré Sarah et que tout semblait si juste, la certitude que tout finit toujours bien.



ONLY YOU


« Comment t’appelles-tu, mon grand ?
— Jonas.
—  Tu as l’air d’être un gentil garçon, Jonas. Je m’appelle Fredrik. Ma chienne Oda s’est enfuie, tu veux bien m’aider à la chercher ? »

Non, je ne veux pas.

Bien sûr, Monsieur Fredrik. À quoi ressemble-t-elle ?


« C’est un labrador brun. Une belle chienne, qui adore jouer à la balle.
— Elle n’a pas pu partir très loin.
— Quel âge as-tu, Jonas ?
— Sept ans. »

C’était une autre vie. Ce n’était pas moi.

Jonas, j’ai sept ans… Je m’appelle Jonas. Je n’ai que sept ans.

— Sören ? Tu as fait un cauchemar, mon amour…
Je grogne. Mes muscles sont endoloris.
— Ce n’était pas un cauchemar.
C’était la réalité.
— Toujours aussi mystérieux, monsieur Osbern.
Je l’embrasse.
— Toujours aussi compréhensive, madame Osbern.
Elle se dégage de mon étreinte pour prendre ma main et la poser sur son ventre rebondi.
— Tu le sens ?
Le petit être qui grandit en elle donne des coups.
— C’est déjà un excellent boxeur.
— Nous devons nous dépêcher de finir la préparation de sa chambre, il sera bientôt là !

Elle descend du lit et se dirige vers la salle de bain. Kim a failli se faire tuer par son ex petit-ami, depuis, elle est paranoïaque. Elle vérifie que chaque porte est fermée à clé. Elle ne passe jamais trop près d’une fenêtre, ou laisse les rideaux tirés. Elle ne sort plus.

— Qui est Jonas ?
Je me lève.
— Pourquoi ?
— Tu parlais de lui dans ton rêve…
Je m’appelle Jonas.
— Je ne connais pas de Jonas.
— Ce serait un joli prénom pour le bébé, non ?
Non.
— Pourquoi pas…
Je n’y pense plus de toute façon.
— Jonas… Je crois que ça lui convient !

Elle sort de la pièce dans son peignoir rose. Je l’entends allumer la machine à café.
J’y pense tout le temps.
Je la rejoins. Elle me sert une tasse. Elle prend le bocal à cornichons du frigo, et me sourit joyeusement, l’air de dire : envie de femme enceinte. Elle plonge le cucurbitacée dans son café et croque dedans sous mes yeux dégoûtés.

— Aujourd’hui, nous montons le berceau, mon chéri !
— Celui pour lequel tu as jeté le mode d’emploi ?
— Tu insinues que mon formidable mari ne peut pas relever un défi comme celui de monter un berceau sans mode d’emploi ?
— Jamais je n’insinuerai une chose pareille.

Kim et moi terminons notre petit-déjeuner. Je la laisse faire la vaisselle. J’attrape un vieux jean, et un vieux tee-shirt que j’enfile avant de me rendre dans la future chambre du bébé.
Jonas. Comme ce serait ironique.
J’attrape les pieds du lit et commence à monter le meuble. Kim vient me rejoindre. Nous passons la journée sur ce fichu berceau.

— Je crois qu’il est terminé, Sören !
— Ce n’est pas trop tôt.

Kim m’embrasse tendrement. Une larme roule sur sa joue.

— Nous allons avoir un bébé… Je le réalise enfin.
— Il aura la chambre la mieux décorée du quartier…
— Tant que je suis avec toi, je ne crains rien, n’est-ce pas, mon amour ?
— Rien, je te le promets.

Kim s’approche de la fenêtre, ouvre les rideaux. Le soleil mord sa peau. Elle se tourne vers moi. Un sourire resplendissant sur les lèvres.

— Je suis libre.

Je tire.
Enfin.

Dans mon viseur, la cible s’écroule. Je me redresse lentement et étire mes muscles. Je sors mon téléphone jetable. J’ai passé vingt-huit heures, allongé sur le sol en béton de cet immeuble abandonné. Vingt-huit heures à attendre que cette bonne femme paranoïaque m’offre une possibilité de la descendre.
C’est fait.
Une somme rondelette est transférée sur mon compte en Suisse. Je souris.
Nous nous sommes bien amusés, Kim. Dommage pour le petit Jonas.

***
« Tu sais, Jonas… C’est ton père qui m’a demandé de t’enlever. Il ne t’a jamais trouvé à la hauteur de ses espérances. Il voulait se débarrasser de toi. Je suis désolé, mais nous sommes coincés tous les deux désormais… »

Je sais que cela ne peut pas être vrai, et pourtant…

Vraiment ?

— Jonas, mon chéri… Merci mon Dieu.
Je leur ai manqué, n’est-ce pas ?
— Maman…
Elle me serre dans ses bras. Si fort.

« À partir d’aujourd’hui, tu seras Markus, et tu seras mon fils. Qu’en dis-tu ? »

Je ne veux pas.

Markus ?

— Est-ce qu’il a été … ?
Pourquoi parlent-ils de cela devant moi ? Je suis là.
Je suis enfin là.
— Il refuse d’en parler, mais l’homme qui l’a enlevé possédait des vidéos pédopornographiques sur son ordinateur, et les examens semblent indiquer qu’il a bien subi des agressions sexuelles. Je suis désolé.
Le visage de mon père s’est éteint. Ma mère s’est mise à pleurer. Personne n’est venu me réconforter.
— Pourquoi a-t-il attendu aussi longtemps pour s’enfuir ? Je ne comprends pas, Inspecteur.
La question me blesse plus que je n’aurais pu l’imaginer.
Serais-je toujours une source de déception ?
— Ces hommes ont une influence considérable sur leur victime. Jonas était trop jeune. Beaucoup d’enfants ne s’enfuient pas, monsieur Petterson. Vous avez eu énormément de chance.

« Sois un gentil garçon, Markus. »

Je m’appelle Jonas.

Je serai gentil…

— Je suis si heureuse que tu sois rentré, Jonas… Nous imaginions le pire.
Qu’est-ce qui pourrait être pire ?
— Je vous conseille de l’emmener voir un psychologue, monsieur Petterson. Les séquelles psychologiques de ce genre d’enlèvement peuvent être destructrices.
Ma mère caresse mes cheveux. Son parfum me rappelle des souvenirs.
— S’il refuse de nous en parler, pourquoi le ferait-il avec un psychologue ? Nous traversons tous des épreuves. Il surmontera celle-ci.

« Markus, si tu es sage, je te promets que tu pourras bientôt sortir. Je sais que tu t’ennuies ici, alors je t’ai apporté des devoirs de vacances et une console de jeux. Je compte sur toi pour ne pas en abuser. »

Merci.

— Nous rentrons à la maison, Jonas.
J’avais oublié à quel point la haine qu’il me porte s’entendait dans la moindre de ses phrases.
— Tes frères et sœurs ont hâte de te revoir, mon chéri.
Elle prend ma main. La serre.
— Je ne te lâcherai plus jamais, je te le promets.
Il est trop tard.






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