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Icare Smith
Icare Smith

Me, myself and I
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Sam 9 Juin - 18:16

Icare Smith



P'tit con ?
18 ans
Le 01 Avril
Anglais
J'suis Bi


Tout homme normal est tenté à un moment de sa vie de cracher dans ses mains, hisser le drapeau noir et se mettre à trancher des gorges.


ONLY YOU
AT YOUR SCHOOL
CLASSE
Year 13.
MATIÈRES SUIVIES
Informatique, Histoire, Français et Sport.
CLUBS INTÉGRÉS
Aucun. C'est pour les bouffons.
SPORTS PRATIQUÉS
D'la boxe, du rugby et de l'endurance.
ÉTUDES ENVISAGÉES
J'envisage rien du tout.


NO PRIVACY




Eau ou Whisky ?
Whisky.
Mariage ou Volage ?
Volage.
Cigarette ou Bonbon ?
Cigarette.
Sage ou Rebelle ?
Rebelle.


Sucré ou Salé ?
Aucun des deux.
Cinéma ou Télé ?
Aucun des deux.
Livre ou Soirée ?
Soirée.
Intello ou Sportif ?
Sportif ?


Blonde ou Brune ?
Aucune importance.
École ou Vacances ?
Vacances.
Amoureux ou Solitaire ?
Solitaire.
Devoirs ou Sorties ?
Sorties.




PHYSICAL
Couleurs des yeux et cheveux
Bleus et Noirs.
Taille et Poids
1m87 et 66 kilos.
Musculature
Plutôt musclé.
Style vestimentaire
J'suis pas du genre à porter des tee-shirts avec des têtes de mort, ou des manteaux longs de vampires, mais j'aime bien les fringues noires, le cuir et les rangers.

Signe particulier
J'ai plein de piercings, de tatouages,
sur les bras, les mains, dans le dos,
et je me maquille.

Ash Stymest







MORE ABOUT ME





Quel est ton livre préféré ? Ton film préféré ?
J'lis beaucoup, j'adore Oscar Wilde... Mais c'que je préfère lire au monde, ce sont les comics Batman. Pour les films, j'sais pas trop...
Quel est le genre de musique que tu écoutes ? Ta chanson préférée ?
J'écoute surtout du Punk Rock genre Sex Pistols ou The Clash mais ma chanson préférée, c'est Red Right Hand de Nick Cave & the Bad Seeds.
Quel est ton plat préféré ? Ta boisson préférée ?
J'sais pas... J'mange pas trop. Et peut-être bien la vodka orange.
Ton avis sur la religion ? La politique ? L'environnement ?
La religion m'a bien pourri la vie jusqu'à la mort de mes parents, alors maintenant, j'vois pas trop pourquoi je m'en soucierais. C'est d'la merde. Dieu existe pas. Et tous ceux qui pensent le contraire sont des cons. Le but des églises, c'est d'gagner du fric. Et les gens sont assez débiles pour le leur donner. La politique, j'en ai rien à carrer. Les types qui en font sont tout autant des ordures que les religieux. Et l'environnement, j'vois pas pourquoi ça me concernerait.
Ce que tu penses de l'homosexualité ? De l'infidélité ? De l'amour ?
J'm'en moque. Sincèrement, j'couche avec qui j'veux, quand j'veux. On s'en fout du sexe. L'infidélité, j'aime pas trop ça, mais bon j'ai jamais été en couple alors j'peux pas dire. Et l'amour, c'est un mensonge. Personne ne peut aimer quelqu'un tel qu'il est vraiment, y'a toujours des défauts qu'l'autre essaie de corriger. D'améliorer. Faut toujours changer pour rentrer dans les cases des gens qui nous aiment. C'est pas de l'amour ça.
Les drogues ? L'alcool ? Les soirées ? Ton truc ou pas du tout ?
Ouais, ouais, c'est mon truc j'vais dire. J'ai pas trop eu l'occasion de faire la fête récemment mais comme j'retourne au lycée, j'espère bien que ça va s'arranger.
Au lycée, tu es plutôt perçu comme le clown ? Le rebelle ? Le geek ?
C'est marrant c'te question. J'étais sans doute perçu comme un putain de loser. Toujours fringué avec des vêtements du siècle dernier. Obligé d'bien me tenir. De bosser. D'pas toucher aux drogues, à l'alcool, aux filles. D'rire le moins possible et surtout d'pas trop parler. J'étais toujours à deux doigts d'me tailler les veines définitivement.
Es-tu victime de harcèlement ? As-tu de nombreux amis ?
Ouais, bah avec tout ça, les autres se foutaient bien d'ma gueule. Trop drôle d'avoir un punching ball qui réplique jamais. Vraiment. Délirant. J'pense que ce sera moins marrant maintenant que j'suis plus grand qu'tous ces abrutis et que j'ai plus mes emmerdeurs de géniteurs pour me dire quoi faire.
Des amis ? J'en ai et ils sont pas du genre à fréquenter le lycée. Mais on rigole bien dès qu'il s'agit tabasser des p'tits bourges à la sortie des boîtes de nuit.
Ta plus grande qualité ? Ton plus grand défaut ?
J'dois pas en avoir beaucoup de qualité. Pour les défauts par contre, je sais que j'suis insupportable.
Parle-nous de ton caractère, dans les grandes lignes :
J'suis un sale con prétentieux et insolent. J'respecte rien, ni personne. J'ai plus de temps à perdre en courtoisie et en cirage de pompes. J'détestais être une victime et aujourd'hui, j'comprends bien mieux les mecs qui cognent. Si la personne en face est pas capable de répliquer, alors elle mérite qu'on l'écrase, c'est aussi simple que ça. Maintenant, c'est moi qui frappe et c'est bien plus agréable comme ça. J'ressens ni remords, ni pitié. J'pense même que d'une certaine façon, tout ça, ce n'est que justice.

Si j'ai au moins une qualité, c'est la sincérité. J'suis franc avec tout le monde, j'cache à personne que je suis un emmerdeur. J'm'embarrasse pas de politesse et de fioriture, quand j'aime pas quelqu'un, il le sait direct. J'dois aussi dire que j'peux être sympa, si t'es sympa avec moi. On est jamais à l'abri d'un pétage de plomb de ma part mais en règle général, j'suis plutôt loyal avec mes potes et avec mes meufs. J'ai jamais eu de relations de plus d'une semaine mais si un jour c'est le cas, j'suis pas trop du genre à tromper. Par contre, j'promets pas d'être la douceur incarnée. Au fond, j'suis pas méchant, en tout cas, j'voulais pas l'être au début. Faire le mal, ça me fait pas plaisir. J'veux juste être moi.

J'crois que j'éprouve plus rien. Comme si j'étais mort à l'intérieur. Quand mes parents se sont tués, j'étais tellement soulagés. J'ai jamais eu envie d'les pleurer. Ces bouseux pathétiques m'ont gâché la vie pendant seize ans. Et... Quand ils ont disparu, tout a disparu avec eux. La colère. La frustration. La douleur. Mais aussi la tristesse, la compassion, l'amour. J'suis parti, sans regarder en arrière. Et j'suis devenu ce que j'voulais être : Un gagnant. J'étais libre. Je n'avais plus peur de rien. J'suis un combattant. Peu importe si ça plaît pas. Moi j'sais de quel côté d'la vie j'préfère me situer. Avant, j'devais penser aux autres, désormais j'suis égoïste. Avant j'étais poli, désormais j'leur crache à la gueule. Avant j'obéissais, désormais j'me révolte. C'est pas en se laissant marcher dessus qu'on atteindra l'paradis. L'paradis, il existe pas. Y'a qu'l'Enfer et en Enfer, j'préfère être un Roi plutôt qu'un Esclave.





Dernière édition par Icare Smith le Sam 18 Avr - 23:14, édité 3 fois
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Sam 26 Jan - 21:08

YOUR STORY



Tu sais, la peur, la terreur, c’est dans ta tête que ça se passe. C’est l’imagination qui fait tout, alors vide ta tête, essaie de ne pas imaginer. Tu serais étonné de découvrir à quel point tu peux être courageux.



ONLY YOU


« Dieu a un putain d’sens de l’humour.

Il t’fait tomber, sans relâche, et s’marre comme une baleine en te regardant t’affaler face contre Terre.

Parfois, il te donne un p’tit coup de pied, juste au moment où t’essaies de te révéler. Histoire d’être sûr que tu restes bien cloué au sol.

Dieu a un putain d’sens de l’humour.
Heureusement, moi aussi. »


J’n’ai jamais voulu attacher un curé. Ce n’était pas l’plan.
Enfin, pour être honnête, j’fais rarement un truc avec un plan en tête. Non pas que j’sois stupide, mais j’préfère suivre mon instinct. Même si ce n’est jamais une bonne idée.

C’est avec un instinct comme le mien qu’on s’retrouve en face d’un curé saucissonné sur une chaise, et qu’on sait parfaitement qu’ça va merder.

— Hé petit con, libère-moi tout de suite !
Il tente de se défaire de ses liens. En vain.
— J’suis profondément choqué par votre langage, m’sieur le curé. Ne sommes-nous pas dans la maison du Seigneur ?
— Très amusant. Je ne crois pas que tu mesures la situation, gamin. Tu sais que tu risques la prison pour un enlèvement ?
J’lui souris et m’assois en face de lui.
— Techniquement, nous sommes toujours dans votre bureau. J’n’ai fait que vous ôter, temporairement, la possibilité d’vous déplacer, c’est très différent d’un enlèvement.
Il m’détaille des pieds à la tête.
— Je te reconnais… Tu es le fils de L….
J’vois ses lèvres remuer mais le nom qu’il prononce m’échappe. J’comprends pas pourquoi c’est ma famille qui s’efface. Pourquoi j’me souviens de toutes les pipes que j’ai taillées à des inconnus pour du fric, mais plus des prénoms de mes frères et sœurs ? J’connais aucune drogue qui provoque ce genre de réaction, alors comment j’ai pu niquer mon cerveau à ce point ?
— Icare… Le sale gosse qui a perturbé l’enterrement de son propre père…
— C’était ennuyeux à mourir.
— Comme tous les enterrements, j’en ai bien peur.
Se cacherait-il un sens de l’humour sous cette carapace glaciale ?
— Pourquoi n’as-tu pas demandé à me parler, Icare ? Tout simplement ? Ton père et moi étions amis, je t’aurais reçu avec plaisir.
— Vraiment ?
Il réfléchit.
— Peut-être pas avec plaisir…
J’lui souris. Il m’aurait claqué la porte au nez, mais j’vais pas l’empêcher d’s’imaginer plus sympa qu’il ne l’est.
— Vous crevez d’envie d’me poser la question, alors faites-le qu’on en finisse.
Le curé déglutit.
— Est-ce que tu l’as-tué ?
— J’ai bien envie d’vous laisser dans le flou. Peut-être que oui, peut-être que non.
— Mais tu…
— J’vous ai dit d’poser la question. Pas qu’j’allais y répondre.
La remarque ne le fait pas rire. Ces hommes de Dieu, tous les mêmes. Froids, énervés et pédophiles…
— Tu es un…
— Un p’tit con, je sais. Vous n’voulez pas connaître la raison d’votre pseudo-enlèvement ?
— Si tu veux te confesser, tu n’avais nul besoin de m’attacher…
— J’pense pas avoir besoin d’une confession.
Il sourit.
— Tout le monde a besoin de soulager sa conscience.
— J’voulais dire par là que j’suis persuadé qu’mon vieux géniteur vous a déjà tout raconté sur mon compte. Tous mes péchés dans les moindres détails. C’est pour cette raison que j’suis là. J’veux savoir ce qu’il vous a dit.
— Je ne peux pas trahir le secret de la confession, Icare.
— Il est mort, qu’est-ce que ça peut foutre ?
— Le corps meurt, mais l’âme reste. Je ne peux pas. Je suis désolé… Si cela peut te rassurer, sache que rien de ce qu’il m’a dit n’a été, ni ne sera, ébruité.
J’sors un flingue de mon pantalon.
— J’n’ai pas l’temps pour votre morale à deux balles, m’sieur le curé. J’veux un résumé d’ses dernières confessions. Si j’sens qu’vous me mentez, je tire.
L’visage du curé se décompose. La peur l’assaille, et j’dois reconnaître qu’le sentiment de toute puissance qui m’envahit me plait bien. Blême, il hoche la tête.
— L… était un ami de longue date. Lorsqu’il est entré dans ce… Mouvement, il n’a pas pu rompre totalement le lien qui nous unissait. Il revenait me voir régulièrement.
J’approche l’arme de sa tempe.
— J’n’en ai rien à battre d’sa biographie. Qu’est-ce qu’il vous a dit à propos d’moi ?
— Je ne comprends pas, Icare…
— Bordel… Je sais qu’il vous a tout raconté… J’vois bien comment vous m’regardez. Comme si j’étais un putain d’chiot solitaire, perdu et malheureux. Vous vous dites qu’j’suis un pauvre garçon malmené par la vie. Qu’aujourd’hui j’dois me débrouiller tout seul, après toutes les épreuves que j’ai déjà traversées. Vous aimeriez tellement pouvoir m’tendre la main. Dieu vous accueillerait à coup sûr au Paradis avec une B.A. comme celle-là.
— Je suis désolé…
— Nan, vous êtes stupide. Vous l’avez cru.
Il fronce les sourcils.
— J’voulais juste attirer son attention. J’voulais qu’il m’remarque… J’pensais pas qu’il en ferait toute une histoire. J’pensais pas qu’il viendrait vous l’dire.
J’soupire.
— Tu… Tu as tout inventé ?
— Tout.
— Ce n’est pas possible, certains détails…
— Franchement, m’sieur le curé, j’ai l’air d’un gosse qui va mal ?
— Oui.
J’éclate de rire.
— C’n’est pas parce que j’écoute du Metal et que j’m’habille en noir que j’vais mal. Tous les ados ont des phases. J’peux vous assurer qu’si j’avais vécu la moitié des trucs dont j’lui ai parlé, j’me serais déjà ouvert les veines de désespoir.
— Alors… Ce mouvement dans lequel tu vivais…
— Était tout ce qu’il y a de plus ennuyeux.
Toute la compassion dans ses yeux disparait. J’suis devenu le sale petit con mythomane qui n’hésite pas à attacher un curé dans sa propre Église.
— Tu ne vas pas me tuer…
— Nan. J’voulais vous foutre la frousse, et vous dire la vérité.
— Ton père cherchait à te protéger et toi… Détache-moi et dégage. Si tu remets les pieds ici, je n’hésiterais pas à appeler la police.

Je m’exécute. J’range mon arme factice dans mon pantalon et j’sors sans plus de cérémonie. Une voiture m’attend, garée sur le trottoir d’en face. L’idée de partir en courant m’traverse l’esprit, mais j’grimpe à l’arrière.

L’homme à côté d’moi pose une main sur ma cuisse. Il sourit.
— Alors ?
— J’te l’ai déjà dit, j’suis un menteur professionnel.
C’est l’côté punk. Les gens s’méfient d’moi par définition. Qui ferait confiance à un mec qui porte des fringues gothiques ?  
— C’est bien ce que tu as fait ce soir, Icare. Ce prêtre aurait pu nous causer des problèmes… Qui sait les mesures que nous aurions dû prendre pour stopper son enquête…
— J’fais pas ça pour toi.
— Ta mère et tes frères et sœurs vont bien. Tu sais, il ne tient qu’à toi de revenir. Je ne suis pas rancunier.
J’ai oublié leur visage. Leur voix. Leur rire. Ils s’effacent, et je n’fais rien pour les retenir.
— Je crois… Que je suis allé trop loin avec toi, Icare. Je sentais que je perdais le contrôle et j’ai paniqué. Je suis désolé.
— C’n’est pas ça qui ramènera mon p… Paternel.
— Tu détestais ton père.
J’dois être stupide, pour avoir raconté ma vie dans les moindres détails à c’type.
— Parce que tu l’as bousillé ! T’es la pire chose qui soit arrivée à mes p… P…
— Parents ? Je pense qu’au fond, ce n’est pas à moi que tu en veux, Icare… Mais à toi. Tu te sens coupable pour la mort de ton père.
— Arrête ça.
— Tu n’as aucune raison de t’en vouloir… Tu ne l’as pas fait exprès.
— Je n’ai rien fait…
— Tu ne voulais pas vraiment presser la détente…
Je… J’n’arrive plus à me souvenir. J’suis presque sûr de n’avoir jamais tenu un véritable pistolet, mais…
— Arrête d’essayer d’entrer dans ma tête !
— Ta mère ne te reproche rien. Elle a vraiment envie que tu rentres à la maison. Nous le voulons tous.
— Je ne…
— Elle sait que tu possèdes une imagination débordante, et elle regrette de ne pas avoir été plus présente.
— Qu’est-ce que tu…
— Tu voulais juste te faire remarquer, n’est-ce pas ? Tes parents travaillaient beaucoup, et j’avais moins de temps pour toi… Tu as commencé par te rebeller, puis tu as inventé ces histoires. Tu cherchais à attirer notre attention. Mon attention.
— Je n’ai rien inventé.
— Comment peux-tu en être aussi sûr ? Tu as des souvenirs précis ? Des témoins ? Des preuves ?
Non, ça n’a jamais été précis… Tout est en vrac dans ma tête. Tout a toujours été en vrac. Les souvenirs et les rêves s’mélangent. J’fais même plus la différence.
— C’est bien ce qu’il me semblait. Ce n’est pas grave. Je suis flatté d’avoir une place aussi importante dans ta vie, mais je ne peux pas m’occuper que de toi, tu le sais, non ?
J’veux que ça s’arrête. Pitié.
— N’en as-tu pas marre de vendre ton corps pour gagner à peine de quoi survivre dans les rues de Londres ? Ne souhaiterais-tu pas retrouver la chaleur de ton foyer ? Tu pourras à nouveau prendre soin de tes frères et sœurs, nous sommes prêts à tout effacer.
Comment fait-il ça putain ?
— À quel point désires-tu revenir, Icare ?
J’détourne les yeux. S’il continue, j’vais me mettre à pleurer. Il attrape mon visage et me force à l’regarder. Il sourit.
— Montre-moi ce que tu as appris sur le trottoir, et peut-être que nous trouverons une solution pour te ramener à la maison… Ta mère a besoin de toi, alors sois convainquant.

« Parfois, j’me réveille avec la sensation qu’le rêve était réel.

Dieu a vraiment un putain d’sens de l’humour, non ? »






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