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Sacha O'Sullivan
Sacha O'Sullivan

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Dim 27 Jan - 23:34

Sacha O'Sullivan



41 ans
22 Août
Irlandaise
Bisexuel


Pour moi, un ami est simplement une connaissance qui n'a pas encore trahi la confiance qu'on lui accorde.


ONLY YOU
AT YOUR SCHOOL
QUEL EST TON SURNOM ?
Capitaine
MATIÈRE ENSEIGNÉE
J'enseigne les mathématiques.
RÉFÉRENT POUR QUEL(S) CLUB(S) ?
Le club d'échecs.
ENTRAÎNEUR POUR QUEL(S) SPORT(S) ?
Le tir sportif.


NO PRIVACY




Eau ou Whisky ?
Whisky.
Mariage ou Volage ?
Aucun des deux.
Cigarette ou Bonbon ?
Cigarette.
Mature ou Immature ?
Aucun des deux.


Sucré ou Salé ?
Salé.
Cinéma ou Télé ?
Très amusant.
Livre ou Soirée ?
Aucun des deux.
Intello ou Sportif ?
Les deux.


Blonde ou Brune ?
Aucune importance.
Travail ou Vacances ?
Travail.
Amoureux ou Solitaire ?
Solitaire.
Sérieux ou Cool ?
Sérieux.




PHYSICAL
Couleurs des yeux et cheveux
Bleus et noirs.
Taille et Poids
1m75 et 67 kilos.
Musculature
Plutôt musclé.
Style vestimentaire
Habituellement, je ne suis pas très soigneux et je ne fais aucun effort vestimentaire. Je porte ce qui me tombe sous la main, que ce soit assorti ou pas.

Signe particulier
Je suis aveugle.

Cillian Murphy







MORE ABOUT ME





Quel est ton livre préféré ? Ton film préféré ?
Je déteste lire en braille, donc mon livre préféré avant de perdre la vue, c'était Abattoir 5 de Vonnegut et mon film préféré, c'était la ligne rouge.
Quel est le genre de musique que tu écoutes ? Ta chanson préférée ?
Puisque c'est à peu près le dernier plaisir qu'il me reste, j'écoute de tout sans distinction. J'adore le Metal, j'écoute beaucoup Behemoth.
Quel est ton plat préféré ? Ta boisson préférée ?
Me faire à manger étant devenu une corvée, je suis plutôt fast-food et malbouffe. Je bois une quantité astronomique de whisky.
Ton avis sur la religion ? La politique ? L'environnement ?
Je viens d'une famille irlandaise très catholique. J'ai baigné dans la religion toute ma jeunesse et j'en suis arrivé à la conclusion que c'était de la merde. J'ai agi comme il le fallait toute ma vie et Dieu m'a quand même laissé tomber. La politique m'indiffère. L'État par contre me doit une paire de globes oculaires, mais ils n'ont pas l'air prêt à me les fournir. Et l'environnement est bien le cadet de mes problèmes.
Ce que tu penses de l'homosexualité ? De l'infidélité ? De l'amour ?
Je suis bisexuel. L'infidélité, c'est le propre de l'homme, dans n'importe quelle situation. L'amour, ça n'existe pas.
Les drogues ? L'alcool ? Les soirées ? Ton truc ou pas du tout ?
Carrément mon truc. Beaucoup de whisky, une injection d'héroïne de temps en temps et tous mes problèmes disparaissent. Par contre, je ne fais pas beaucoup de soirées. Enfin, si, mais tout seul.
Au lycée, tu étais toi-même plutôt populaire ou plutôt has-been ?
Je ne suis pas resté longtemps au lycée, mais dans mes souvenirs, nous étions tous des fils d'agriculteurs plutôt has-been.
Quelle profession exerçais-tu avant d'être embauché au lycée ?
Je me suis engagé dans l'armée quand j'ai eu 16 ans. J'ai fait trois ans dans l'armée de terre, avant d'entrer dans les forces spéciales britanniques. J'avais atteint le grade de Capitaine dans la Mobility Troop (spécialisée en terrain désertique et en mobilité motorisée), lorsque j'ai perdu la vue pendant une mission en Syrie, j'avais 31 ans et j'ai été licencié. Expert en infiltration et en technique d'interrogatoire, j'ai rapidement retrouvé du travail en tant que Consultant pour des mafieux locaux.
Aujourd'hui, tu es plutôt perçu comme un prof cool ? Ennuyeux ? Sévère ?
Sévère ? Pour un homme aveugle, j'ai les sens affûtés, rien ne m'échappe, et je déteste les élèves perturbateurs. Bien sûr, j'essaie de ne pas trop péter les plombs devant les élèves.  
Es-tu plutôt impliqué dans la vie lycéenne ? T'intéresses-tu aux élèves en dehors des cours ?
Absolument pas. Je déteste les adolescents encore plus que les enfants. Il ne manquerait plus que je m'intéresse à la vie étudiante !
As-tu un élève favori, un chouchou ? Un élève que tu détestes ? Si oui, on veut des noms :
Aucun.
Ta plus grande qualité ? Ton plus grand défaut ?
Je suis un excellent professeur. Et, pour le défaut, je suis imprévisible.
Parle-nous de ton caractère, dans les grandes lignes :
Le moins que l'on puisse dire, c'est que je possède un caractère de merde. En y réfléchissant, je ne pense pas que je doive cela à l'alcool, ou à ma cécité. J'étais déjà un connard avant mon accident. Perdre la vue n'a fait qu'accentuer tous les traits de caractère détestables que je possédais. Je suis colérique et violent, la moindre remarque déplacée peut me faire péter les plombs. Mais la cerise sur le gâteau, c'est que vous ne le verrez pas venir et vous ne comprendrez pas pourquoi. Ce n'est pas de la susceptibilité... Enfin, pas vraiment. Cela dépendra de mon humeur, de la journée que je viens de passer, du temps qu'il fait... La même phrase pourrait me faire réagir de plusieurs manières différentes selon mon état d'esprit. En plus de cela, je suis d'une misanthropie exemplaire. Je préfère la solitude. Et, de toute façon mon attitude glaciale, désagréable et trop franche en rebute plus d'un. Ils sont rares, voire inexistants, les gens pouvant me supporter sur cette Planète. Ce n'est pas un problème, tant que j'ai mon labrador et un bon verre de whisky.
Je ne suis pas alcoolique, mais l'alcool et la drogue sont les seuls moyens que j'ai trouvé pour surmonter la disparition de ma vue. C'est une façon de me replonger dans mes souvenirs, pas toujours agréables, mais en couleurs.

Je ne valais pas beaucoup mieux lorsque j'étais dans l'armée. Imbu de moi-même, impatient, opportuniste et irréfléchi, je faisais tout ce qu'il me passait par la tête. Allant du simple vol au viol, en passant par des violences gratuites et des meurtres sans fondement. J'étais ce genre de raclure, malmené par la vie, qui se cachait derrière son uniforme pour faire des saloperies. Aujourd'hui, je suis bien obligé de me rendre compte des horreurs que j'ai commises. J'ai fait du mal, j'ai été puni. Et, je ne parviens même pas à éprouver des remords. J'étais un homme exécrable mais un soldat hors du commun. J'ai même reçu des médailles, avant d'être renvoyé. Le comble. On me remercie d'avoir tué un terroriste hautement recherché, mais on se fiche bien des cadavres d'innocents que j'ai empilés pour l'atteindre. L'important, c'est le résultat. J'ai grandi avec cette idée, alors comment pourrais-je éprouver la moindre once de culpabilité ? Je suis un soldat, pas un saint.

Je suppose qu'on ne peut que se demander comment j'en suis arrivé à enseigner les maths à des ados boutonneux ? Cela peut paraître étrange mais j'ai toujours adoré les mathématiques. Les chiffres, les équations, les résultats... Si je n'étais pas entré dans l'armée, je serais devenu prof (et entre nous, quelques vies auraient été épargnées). Alors, comment refuser la proposition de M. Godric ?
Au lycée, je suis obligé de faire des efforts. Je suis désagréable et inflexible, mais je ne peux décemment pas tabasser un élève qui m'aurait mal adressé la parole. Fort heureusement, je n'ai pas besoin de le faire. Je dois posséder cette aura, un peu effrayante, qui entoure tous les aveugles dotés de sens aiguisés. Les gamins me respectent, certains ont même peur de moi, parce que je sais toujours lequel d'entre eux mâche du chewing-gun, ou regarde son téléphone portable. Je n'ai pas besoin de les voir pour savoir qu'ils ne m'écoutent pas, et après quelques piques blessantes, ils finissent par retenir la leçon et ne plus perturber mon cours. Au final, je suis presque sûr que je parviens à leur apprendre des choses et, c'est une drôle de sensation mais j'en suis assez fier. Comme si, une fois dans ma vie, je faisais une bonne action.





Dernière édition par Sacha O'Sullivan le Lun 13 Avr - 22:42, édité 3 fois
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Mar 29 Jan - 23:31

YOUR STORY



Franchement, on pouvait lui reprocher tout ce qu’on voulait, mais pas d’être sélectif. Il tapait sur tout le monde. Ça lui plaisait, il n’avait peur de personne. Quand ça déboulait, il fallait que le monde cède, ça ne lui posait aucun problème de crever plutôt que de se coucher.



ONLY YOU

— Tu n’es pas concentré, Sacha.
— Papa, nous nous entraînons depuis quatre heures… Je suis fatigué…
Il me fusille du regard.
— Crois-tu que Bobby Sands se plaignait d’être fatigué lorsqu’il se battait pour notre liberté depuis sa cellule ?
Je retiens un soupir d’agacement. J’aime notre pays autant que lui, mais j’aimerais qu’il cesse de me sortir les noms des héros de notre résistance à tout bout de champ.
— Non mais je ne suis pas Bob…
— Remets ce bandeau sur tes yeux.
J’obéis.
— Ta garde.
— Quel est l’intérêt d’apprendre à se battre les yeux bandés ? Je ne suis pas un Jedi.
— Un quoi ? Écoute, fils, j’espère que tu n’auras jamais à utiliser ces capacités, mais je préfère que tu les possèdes. Même privé de tes sens, tu dois pouvoir mettre ton ennemi à terre, compris ?

*

Je ne supporte plus le sable et la chaleur. L’air de l’Afrique me brûle les poumons. Je rêve de rentrer au pays. De retrouver Siobhan. Son joli sourire. Sa chevelure rousse indomptable. Ses yeux plein de malice.

— Bordel, qu’est-ce que vous avez foutu ? Capitaine O’Sullivan, au rapport.
J’écrase ma cigarette par terre, et je me redresse nonchalamment.
— On a effectué la mission, Commandant.
— Une femme a été retrouvée morte, à moitié nue.
J’hausse les épaules.
— Elle était avec les terroristes.
Il pointe son doigt devant mon visage. Deux de mes hommes se lèvent. Leur solidarité me touche, mais je leur fais signe de ne pas bouger.
— Capitaine O’Sullivan, je vous le dis une dernière fois, nous ne sommes pas des animaux. Retenez vos pulsions bestiales et celles de vos hommes, ou je vois envoie tous devant la Cour Martiale !
— Pourquoi feriez-vous une chose pareille ? Nous sommes votre meilleure équipe d’intervention.
Sacha, c’est ton supérieur hiérarchique, tu ne peux pas lui parler ainsi !
— Vous n’avez aucune limite.
— C’est la guerre.
— Nous ne sommes plus au Moyen-âge, bon sang, Capitaine ! Pour une fois, vous allez me faire le plaisir d’obéir à mes ordres. Honorez l’uniforme que vous portez et comportez-vous comme un soldat ! Vous êtes ici pour sauver des vies, pas pour en briser.
— Je suis ici pour faire le sale boulot d’un pays qui est incapable de se débrouiller seul, Commandant. Pour une vie sauvée, j’en détruis dix, sur votre ordre. Alors, une de plus ou une de moins, vous pensez sincèrement que cela fera pencher la balance en ma défaveur ?
Il lève le poing, mais ne laisse pas partir son coup.
— Votre réputation commence à s’ébruiter. Il est hors de question que je plonge pour vos conneries, O’Sullivan. Plus de beuverie. Plus de viol. Plus de meurtre d’innocent. Si vous ne vous arrêtez pas, je trouverais un moyen de le faire, suis-je clair ?
Je lui souris, et je me mets au garde à vous.
— Limpide.

*

Je me souviens d’une explosion. Un éclair aveuglant. Un bruit sourd. Le camion qui se soulève. Les cris de mes camarades. Mon corps qui valdingue de gauche à droite. Mes os qui se brisent. Je me souviens de l’air qui ne parvient plus à entrer dans mes poumons. Du sang dans ma bouche. Des ténèbres.

Sacha, je t’en prie, sors de là ! Tu vas mourir !

Je n’entends plus le monde qui m’entoure. Je ne vois plus rien. Suis-je mort ?

Sacha ! Vite…

Elle pleure… Dans ma tête. Je sens mes doigts. Mes bras. La douleur s’est immiscée dans tout mon être, mais je peux bouger. À tâtons, je pose un coude par terre. Puis l’autre. Je m’éloigne, du moins je l’espère, de mon véhicule. Les débris et le sable m’arrachent la peau. Un dernier effort. Pour vivre. Encore un peu.

*

J’aurais préféré mourir.
Dieu existe, et pour me punir de mes crimes, il m’a rendu pitoyable.

— Je suis navré, Capitaine O’Sullivan, vos nerfs optiques ont été endommagés de façon irréversible, il est peu probable que vous recouvriez la vue un jour.
Son ton faussement compatissant m’énerve.
— Mais, comparés à vos camarades, vous vous en êtes bien sorti.
Cette fois, mon sang ne fait qu’un tour. Je tends la main vers lui. Trop surpris pour réagir, je l’attrape avant qu’il n’ait le temps de se décaler. J’aurais aimé le voir distinctement pour pouvoir le tabasser.
— La prochaine fois que tu m’insultes, moi et la mémoire de mes camarades morts au combat, je te jure que je te fais bouffer tes propres couilles, compris ?
— Je ne voulais pas vous offenser, Capitaine…
— Tu l’as fait. Où sont mes fringues ?
Je le lâche.
— Mais… Vous n’avez pas l’autorisation de quitter l’hôpital, vous pouvez à peine marcher.
— Je vais me débrouiller.
Je m’assois au bord du lit. J’ai l’impression que tout mon corps a été jeté dans une broyeuse.
— Vous avez besoin de séance de rééducation, votre handicap n’est pas…
Je tourne la tête vers lui. Je sais où il est. Je peux presque deviner les gestes qu’il fait.
— Mon quoi ?
Il déglutit.
— Votre particularité… N’est pas commune. Vous devez apprendre à vivre avec.
— Et qui va me l’apprendre, toi ? Alors que tu vois le monde clairement, tu vas m’expliquer comment m’adapter à cette nouvelle vie qui s’offre à moi ? Je refuse ta pitié. Dégage.

Il manque de trébucher sur quelque chose, avant de sortir sans hésiter.

— Inutile de terroriser les infirmiers, Sacha. Tu es en Angleterre, pas au Liberia. Personne ne te veut du mal.
— Dieu merci, Éléonore, perdre la vue ne t’aura pas fait disparaitre. Cela me comble de joie !
Je me lève, mes jambes ne portent pas mon poids. Je me rattrape sur le lit pour éviter de tomber.
— Je suis touchée.
— C’était un sarcasme. T’entendre sans pouvoir te voir, c’est encore pire. Pourquoi tu n’es pas partie ?
Je me redresse, et je fais deux pas avant de me cogner sur un fauteuil. Bordel de merde.
— Je suis dans ta tête, je ne peux pas partir.
— Splendide.
Je la sens passer près de moi. La sensation est étrange. Elle ne peut pas être là, et pourtant…
— Je pense que c’est un message, Sacha.
Je tâtonne le fauteuil. Ma veste est posée sur le dossier. Je fouille les poches. J’attrape une cigarette que je glisse entre mes lèvres.
— Un message ?
— Pour te punir de tous tes crimes.
Je lui souris en allumant ma cigarette.
— Ne devrais-tu pas être de mon côté, Léo ?
— Je n’ai pas de côté. Tu as été un monstre, et aujourd’hui, tu en paies le prix.
— Tu es une salope moralisatrice, mais ce n’est pas dénué de sens. Qu’est-ce que tu proposes ? Un suicide, pour m’éviter cette longue agonie ?
— Comment ?! Non, jamais de la vie ! Tu peux apprendre à vivre ainsi, et peut-être te lancer dans des bonnes actions ?
Je tire sur ma clope.
— Ce n’est pas mon domaine.
— Ça peut le devenir…

*

Le son de la télé en fond me gonfle, mais je suis trop pathétique pour l’éteindre. Sans elle, je prends conscience de l’immensité de ma solitude.
Une cigarette entre les lèvres, je nettoie et remonte mon Glock. Mon paternel m’a appris à faire cela les yeux fermés quand j’étais gosse. Quand je pense que je trouvais ses exercices stupides.

— Sacha, je ne suis pas certaine que le travail de professeur soit indiqué dans ta condition…
— Je n’ai pas besoin de voir les gosses pour leur donner cours.
— En vérité, je parlais plutôt de moi…
— Quoi, toi ?
— Tu te rends bien compte que ce n’est pas normal de m’entendre, n’est-ce pas ?
J’hausse un sourcil. Je n’avais jamais pris la peine de songer à ça. Léo fait partie de moi.
— Tu n’es pas méchante, et je suis conscient que tu n’es pas réelle. En quoi ça pose un problème ?
— Tu ne veux pas consulter un médecin ?
— Un psy ? Hors de question. De toute façon, je ne veux pas prendre le risque de te perdre. Les élèves ne s’en rendront pas compte. Je ne t’adresse jamais la parole devant un public. Ne t’inquiète pas.

Sans elle, je n’aurais plus personne. Plus aucune raison de rester en vie.






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