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Mathieu Hamilton
Mathieu Hamilton

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Ven 8 Juin - 16:01

Mathieu Hamilton



25 ans
le 20 Juin
Italien - Anglais
Homosexuel


Au bout d’une semaine d’école, ils comprirent combien il avaient été bêtes de ne pas rester dans l’Île, mais c’était trop tard ; bientôt ils se rangèrent et devinrent aussi ordinaires que vous ou moi ou Dupont Junior. Chose triste à dire, ils perdirent peu à peu le don de voler.


ONLY YOU
AT YOUR SCHOOL
QUEL EST TON SURNOM ?
Prof, Mat' ?
MATIÈRE ENSEIGNÉE
J'enseigne la littérature.
RÉFÉRENT POUR QUEL(S) CLUB(S) ?
Logiquement, du club de littérature.
ENTRAÎNEUR POUR QUEL(S) SPORT(S) ?
Aucun.


NO PRIVACY




Eau ou Whisky ?
Whisky.
Mariage ou Volage ?
Volage.
Cigarette ou Bonbon ?
Cigarette.
Mature ou Immature ?
Immature ?


Sucré ou Salé ?
Sucré.
Cinéma ou Télé ?
Cinéma.
Livre ou Soirée ?
Soirée.
Intello ou Sportif ?
Sportif.


Blonde ou Brune ?
Brun.
Travail ou Vacances ?
Vacances.
Amoureux ou Solitaire ?
Solitaire.
Sérieux ou Cool ?
Cool.




PHYSICAL
Couleurs des yeux et cheveux
Bleus et châtain.
Taille et Poids
1m83 et 71 kilos.
Musculature
On va dire qu'elle est
suffisamment développée.
Style vestimentaire
Je n'aime pas particulièrement cela mais, je porte la plupart du temps des costumes de marque. J'ai pris cette habitude pour avoir l'air plus vieux et plus sérieux devant mes élèves. Hors de l'école, je suis plus détendu.

Signe particulier
Aucun.

Léonardo Dicaprio







MORE ABOUT ME





Quel est ton livre préféré ? Ton film préféré ?
C'est amusant comme question, puisque je n'ai jamais lu mon livre préféré. C'est mon père qui me faisait la lecture des Trois Mousquetaires lorsque j'étais enfant. Je crois que c'est ce livre qui m'a donné envie de lire malgré toutes les difficultés que je pouvais rencontrer.
Quant au film, j'aime ceux de Tarantino ? Kill Bill... Django...
Quel est le genre de musique que tu écoutes ? Ta chanson préférée ?
Je ne sais pas, un peu de tout ? J'ai pris l'habitude d'écoute de la musique classique lorsque je travaille, pour éviter de me déconcentrer. Mais, j'aime bien l'électro également. Je dirais Glorious de Macklemore ?
Quel est ton plat préféré ? Ta boisson préférée ?
J'adore le moelleux au chocolat et le jus d'orange... Bon, ces temps-ci, mon jus d'orange est régulièrement accompagné de vodka, mais personne n'est obligé de le savoir.
Ton avis sur la religion ? La politique ? L'environnement ?
Je suppose que je crois en Dieu, et je connais un peu la Bible parce que j'ai suivi des cours de catéchisme quand j'étais gamin mais, Dieu, l'Enfer et le Paradis, ce sont des concepts un peu effrayants. La politique ne m'intéresse pas le moins du monde. C'est trop compliqué, trop hypocrite. J'ai déjà du mal à déchiffrer mes bouquins, alors je m'imagine mal devoir déchiffrer les gens. Et pour l'environnement, je ne fais pas spécialement attention.
Ce que tu penses de l'homosexualité ? De l'infidélité ? De l'amour ?
Ah. Voilà une bonne question. Ce que j'en pense ? Je n'en sais rien. Je suis gay, je l'ai toujours su mais... Ce n'est pas facile à accepter. D'ailleurs, je me suis fiancé deux fois avec des femmes tant cette sexualité ne me convient pas... Mais, les femmes sentent ces choses-là. Elles ont fini par comprendre que je les trompais avec des hommes et elles sont parties sans aucune rancune et en me donnant des conseils. Du coup, on peut en conclure que je ne suis pas très fidèle et que je ne tombe pas amoureux.
Les drogues ? L'alcool ? Les soirées ? Ton truc ou pas du tout ?
Plutôt mon truc, je n'ai pas beaucoup changé à ce niveau-là depuis mon adolescence. Je préfère boire que prendre des drogues, cependant. Je fais toujours beaucoup la fête, même si la plupart de mes amis de fac vivent dans d'autres villes.
Au lycée, tu étais toi-même plutôt populaire ou plutôt has-been ?
Plutôt populaire. Je n'étais pas très bon élève alors, je compensais par d'autres moyens. Devenir prof dans un lycée, c'est vraiment un comble avec mon parcours scolaire catastrophique.
Quelle profession exerçais-tu avant d'être embauché au lycée ?
Officiellement, j'ai accepté un poste de professeur d'anglais à l'étranger. Officieusement, je suis Inspecteur dans la police britannique.
Aujourd'hui, tu es plutôt perçu comme un prof cool ? Ennuyeux ? Sévère ?
Cool, je suppose ? C'est plus facile d'avoir l'air cool quand on n'a que cinq ou six de plus que nos élèves.
Es-tu plutôt impliqué dans la vie lycéenne ? T'intéresses-tu aux élèves en dehors des cours ?
Bien sûr. S'il y a bien une chose qui m'a marqué dans mon enfance, c'est le désintérêt des professeurs pour les élèves dans ma situation. Sans mon père, je n'aurais jamais appris à lire correctement. Alors, je veux être disponible pour ces ado s'ils ont besoin de moi. Je n'hésite pas à donner des cours du soir et à prendre part aux projets du club de littérature.
As-tu un élève favori, un chouchou ? Un élève que tu détestes ? Si oui, on veut des noms :
Ce ne serait pas très professionnel d'avoir des élèves préférés, non ?
Ta plus grande qualité ? Ton plus grand défaut ?
Je dirais que je peux me montrer très déterminé quand quelque chose me tient à coeur. Donc, on va dire que je suis obstiné et que c'est à la fois un défaut et une qualité.
Parle-nous de ton caractère, dans les grandes lignes :
Alors, je suis quelqu'un de plutôt fêtard et amusant. J'ai toujours compensé mon mal-être par une volonté grandissante de participer à des soirées et de finir ivre mort. Quelque part, c'est ma façon de me dédouaner de mes actes. Si je bois trop, alors il est normal que je finisse dans le lit d'un bel inconnu, ce n'est pas vraiment de ma faute. Et puis, comme ça, je n'assume rien et je n'ai pas à me préoccuper du long terme. On s'amuse, on couche et à la prochaine. Donc, je dois reconnaître que je suis resté assez immature, en tout cas, dès que l'on sort du cadre de l'école.
Autrement, je sais me montrer patient et intéressé par mes élèves. J'aime beaucoup ce boulot et j'ai l'avantage de ne pas être beaucoup plus vieux qu'eux et donc, d'avoir une approche assez neuve de la littérature. Même si ce n'est pas toujours facile de se faire respecter. Je travaille dur, je suis passionné et j'espère bien réussir à leur transmettre tout ça.

Mais, si je peux être très sérieux au lycée, je suis irresponsable en dehors et je n'ai aucun talent pour les relations sociales. Je me suis fiancé deux fois, et les deux fois se sont terminées avec des larmes. Je ne sais pas garder mes petites-amies, tout comme mes amis sur le long terme, je suis plutôt du genre à n'en avoir rien à faire. Si on cesse de se parler, c'est comme ça. Ce n'est pas moi qui vais renouer le contact. Je suis trop solitaire et détaché pour ça. Mais, je crois que les interactions sociales superficielles me suffisent... Et puis, quand j'essaie de fonder quelque chose de plus important, je me retrouve avec un gamin sur les bras et une fiancée dans la nature. Oui, parce qu'il semblerait que je sois père. Mais... Je ne voulais pas d'enfant et, je ne ressens rien pour lui. C'est un fardeau dont je ne sais que faire. Cela peut sembler ignoble, ça l'est sans doute, mais on ne peut pas forcer sa nature. Heureusement, mon père s'occupe plus souvent de lui que moi.






Dernière édition par Mathieu Hamilton le Dim 11 Aoû - 21:44, édité 1 fois
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Dim 11 Aoû - 21:07

YOUR STORY



La vie se joue souvent en deux manches : dans un premier temps, elle t’endort en te faisant croire que tu gères, et sur la deuxième partie, quand elle te voit détendu et désarmé, elle repasse les plats et te défonce.



ONLY YOU


« Je ne comprends pas comment j’ai pu merder à ce point dans ma vie.
Comme si, tout ce que je touchais se transformait en échec.

Ma famille, mes relations sentimentales, mon travail, mes passions…

J’aimerais mettre tout ceci sur le compte de Dieu. L’accuser de m’avoir maudit dès le départ, de m’avoir puni pour les péchés de mon père.
Mais je suis incapable de rejeter ma propre incompétence sur une entité invisible et qui n’existe vraisemblablement pas.

J’ai fait tous les mauvais choix, et je suis trop honnête pour me voiler la face sur les raisons qui m’ont poussé à les faire : je suis, et j’ai toujours été un con. »

*

— Mathieu !
Je me détache des lèvres de Théo.
— Merde… C’est mon père. Il ne devait pas rentrer avant demain… Il faut que tu t’en ailles.
L’air surpris, il me sourit.
— On est au vingt-et-unième siècle, Mat’, mon paternel bosse dans une usine et sait à peine compter, et l’idée que je sois gay ne le dérange pas le moins du monde. Tu ne vas pas me faire croire que ton père super cool est moins ouvert d’esprit que lui.
Dans mon cercle d’amis, un père qui n’utilise pas son fils comme punching-ball est forcément super cool. Peut-être qu’à une époque, il l’était, mais aujourd’hui, ce n’est pas ainsi que je le qualifierais.
— Mon père super cool pense que je suis atteint d’une maladie et qu’il pourra m’en guérir, alors si tu veux bien foutre le camp d’ici avant qu’il me fasse une scène pour cette énième rechute…
Il hésite.
— S’il te plaît ?
Il soupire, et fait l’effort de se rhabiller. Je lui ouvre la fenêtre et l’embrasse.
— Tu es le meilleur. On se voit demain.
— 10h30, devant le cinéma ?
— Vendu.
J’asperge la pièce de désodorisant, en sachant très bien que cette méthode ne fonctionne pas, mais avec un peu de chance, il imaginera que je fumais une cigarette et pas de la marijuana. Il frappe à la porte. Je vérifie que Théo est assez loin.
— Tu es là, Mathieu ? Je peux entrer ?
— Oui.
Il fronce les sourcils, mais ne fait aucun commentaire sur l’odeur. Il a juste l’air préoccupé.
— Tu as séché les cours toute la journée.
Aïe.
— C’est possible…
— Est-ce que tu as volé une voiture ?
J’aimerais vraiment accuser l’influence de mon groupe de potes, mais… La vérité, c’est que je suis toujours celui qui propose les idées les plus stupides.
— À voir ta tête, on croirait que j’ai commis un meurtre… C’était juste pour déconner, papa.
— C’est un délit, Mathieu, tu ne peux pas…
— J’en ai marre de ne pas pouvoir, d’accord ? Je ne peux pas boire, je ne peux pas fumer, je ne peux pas sortir après vingt-deux heures, je ne peux pas fréquenter mes potes, je ne peux pas tabasser quelqu’un qui l’a mérité, je ne peux pas arrêter l’école, je ne peux pas baiser avec qui j’en ai envie, je ne peux pas être moi-même…
Chaque fois que j’aborde le sujet, je lis cette tristesse dans son regard. Il souhaite désespérément que je l’écoute, parce qu’il est persuadé d’avoir raison.
— Tu n’as que quinze ans, tu es trop jeune pour tout ça…
Il ne m’a jamais écouté. Jamais cru. Pour lui, je suis ce gamin hyperactif et angoissé qui croit voir des fantômes et qui aime les garçons. Je suis forcément dans l’erreur. Comment peut-il être aussi sûr de lui alors que je doute sans cesse ? Comment sait-il que sa vérité est la bonne ?
— Pourquoi n’arrives-tu pas à comprendre que je ne suis pas, et que je ne serai jamais, le fils que tu aurais aimé avoir ?  
— Mathieu, je t’aime tel que tu es…
— Mais ce serait tout de même mieux si j’étais autrement… Tu sais, moi aussi je dois accepter le fait que tu n’es pas le père que je souhaitais.

*

« Je suppose que tous les adolescents traversent des crises plus ou moins violentes.
Je ne cherchais pas à faire du mal à mon père, il a fait de son mieux et il m’a toujours aimé sincèrement, mais je me sentais incompris, et seul.

Je me sens toujours incompris, et seul.

Mais, pendant longtemps, l’alcool a résolu ce problème. »

*

— Tu sais que tu bois trop, Mathieu, n’est-ce pas ?
— Je ne te pensais pas aussi perspicace, Liam. Qu’est-ce qui t’a mis la puce à l’oreille, les multiples bouteilles vides dans la poubelle ou le verre de Gin sur la table de nuit ?
Je tire sur ma cigarette en l’observant depuis le bord de la fenêtre.
— Tu ne devrais pas prendre ce problème à la légère, tu as des responsabilités désormais… Ne me fais pas regretter de t’avoir offert mon aide…
L’air de l’extérieur est glacial. Je suis chez moi, mais Liam a toujours détesté l’odeur du tabac. Pour une raison que j’ignore, peut-être parce que je lui suis redevable, j’évite de le contrarier.
— Comment pourrais-tu regretter après la nuit que nous avons passée ? Tu adores les jeux de rôle avec les menottes !
Il soupire, agacé, et se redresse.
— Il est impossible de discuter avec toi.
J’écrase mon mégot. Je remonte sur le lit, et l’enlace. Bien que nous n’ayons jamais abordé le sujet, Liam a au moins vingt ans de plus que moi. Il en a toujours été très complexé. J’avais à peine seize ans lorsque nous nous sommes rencontrés, et nous évitions de nous montrer en public, il ne voulait pas passer pour un pervers. De ce fait, nous n’avons jamais considéré notre relation comme étant sérieuse, mais il est ce qui se rapproche le plus d’une famille à mes yeux.
— Je ne comprends pas pourquoi cela te surprend.
— Je ne suis pas surpris, mais attristé que tu ne gagnes pas en maturité avec les années.
— Liam… Je te suis très reconnaissant d’avoir effacé mon casier judiciaire et de m’avoir permis d’entrer dans la police. L’homme que je suis aujourd’hui n’existerait pas sans toi.
Il tourne la tête vers moi. J’en profite pour lui voler un baiser.
— Si tu bois à cause de ton père…
Je lui souris.
— Je ne peux pas toujours rejeter la faute sur mon paternel.
— Tu es certain que tout va bien ? Le Mathieu que je connais adore se plaindre de son père.
— Le Mathieu que tu connais oublie souvent que son père a fait ce qu’il a pu.
Liam m’embrasse sur le front et se lève.
— Je retire ce que j’ai dit, parfois, tu fais preuve de discernement. Tu me promets que tu vas faire attention ?
— Je maîtrise la situation.

*

« Je n’ai jamais maîtrisé la situation, parce que je ne bois pas pour combler un vide, ni pour effacer la douleur. J’ai appris à vivre avec mes failles, et mes regrets.

Je bois pour empêcher les morts de revenir me hanter, mais à qui parler de cela ? »

*

— Mat’ la menace !
— Pour toi ce sera Inspecteur Hamilton, Robby.
Il s’assoit sur mon bureau et me tend un café. Je le prends.
— On se demandait, t’es plutôt actif ou passif avec tes coups d’un soir, Inspecteur Hamilton ?
— Viens chez moi, je te montrerai, du con.
Il sourit.
— C’est un point commun à tous les pédés la susceptibilité, ou c’est juste toi ?
Je dois reconnaître que cette carrière m’a fait relativiser sur l’homophobie de mon père. Non pas que mes collègues soient méchants, ils manquent simplement de subtilité. Il suffit de rentrer dans leur jeu, de faire preuve d’auto-dérision, et les remarques paraissent moins désobligeantes qu’elles ne le sont.  
— C’est un point commun à tous les hétéros la stupidité, ou c’est juste toi ?
Il éclate de rire.
— Il parait qu’on va te remettre sous couverture, Mat’ ?
Je bois une gorgée de mon café. Comme la plupart des jeunes policiers, je me suis engagé pour bosser à la criminelle. Je n’avais pas envisagé qu’il me fallait d’abord passer par des services beaucoup moins prestigieux.
— Il semblerait que je sois doué pour me fondre parmi les criminels.
— Tant que ce n’est pas dans les criminels, Matty.
— Mais tu es très amusant aujourd’hui…
— Il faut bien que j’écoule mon stock de blagues, je ne vais plus te voir pendant plusieurs mois ! Dans quoi tu t’embarques cette fois ? Encore un trafic de drogues ?
Lorsque je suis entré dans la police, j’ai rejoint la Brigade des STUPS, et j’ai rapidement intégré un gang. Ils m’ont fait confiance, après tout, je savais de quoi je parlais, ayant moi-même dealé dans mon adolescence, cet univers m’était familier. J’ai passé deux ans à récolter des preuves, et l’opération a été un succès.
— Non… C’est un peu plus compliqué que cela. Je vais à Londres, travailler pour un parrain.
— Je t’envie. Pas de famille, pas d’attache, une vie trépidante… Moi, on ne me colle que des affaires sans importance depuis que ma femme a accouché. Tu ne voudrais pas échanger ?
— Tu as eu des triplés, Robby, personne ne voudrait échanger sa vie avec la tienne.
— Je sais… C’est foutu maintenant… En tout cas, je te souhaite bonne chance. Ne te fais pas tuer, sinon je n’aurais plus de coéquipier à vanner !

*

« Je ne voulais pas de cette affaire… J’étais trop impliqué personnellement, mais mon supérieur était persuadé que cela m’aiderait à entrer dans ces réseaux…

Facile à dire.

Je n’ai pas parlé à mon père depuis des années, cela m’étonnerait qu’il accepte de me faire confiance. »





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